Le président du comité de ces déplacés a reconnu que sa communauté dépend des contributions de la population locale pour survivre et certains d’entre eux dorment à même le sol dans des salles de classes.
Des sources locales accusent ces déplacés d’utiliser les pupitres de ces salles de classes comme bois de chauffe, mettant ainsi les élèves en difficulté de suivre les cours pendant cette saison de pluie.
Ces déplacés étaient au départ 15 600 et ils retournent progressivement dans leurs localités d’origine à Ufamandu et à Ziralo faute de moyens.
En novembre dernier, le Comité internationale de la Croix-Rouge (CICR) avait distribué des vivres et des bâches à ces déplacés, selon un rapport du Bureau de la coordination des Affaires humanitaires des Nations-Unies (OCHA).
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