PATRICK MUKA Étudiant en première licence a l'institut facultaire des sciences de l'information et de la communication(IFASIC). Gradué en sciences de l'information et de la communication à (IFASIC),diplômé d'État en scientifique. Autres formations: initiation à l'informatique(word,Excel,Acceset power point),initiation a l'internet, formation sur la prise de vue enfin la formation sur le montage vidéo avec adobe première pro.
samedi 18 mai 2013
PATRICK MUKA.NET: Ban Ki-moon nomme le général brésilien Santos Cruz...
PATRICK MUKA.NET: Ban Ki-moon nomme le général brésilien Santos Cruz...: Le lieutenant général Carlos Alberto Dos Santos Cruz, commandant des forces de la Monusco. Pht droits tiers. Le Secrétaire g...
PATRICK MUKA.NET: Ban Ki-moon nomme le général brésilien Santos Cruz...
PATRICK MUKA.NET: Ban Ki-moon nomme le général brésilien Santos Cruz...: Le lieutenant général Carlos Alberto Dos Santos Cruz, commandant des forces de la Monusco. Pht droits tiers. Le Secrétaire g...
Nord-Kivu: les FARDC ont délogé les miliciens de la localité de Mbuyi
Bunia : le journaliste Guylain Chanjabo retrouvé mort dans une rivière
Grands Lacs : la paix et la stabilité « dépendront des dirigeants de la région »
Ban Ki-moon nomme le général brésilien Santos Cruz commandant des forces de la Monusco
Bas-Congo : un accident de circulation sur la route Kinshasa-Matadi fait 9 morts
Katanga: retour à Lubumbashi de 30 enfants de la milice Bakata katanga
Katanga: 3 morts dans un accident de circulation sur la route Lubumbashi-Kasumbalesa
Mbuji-Mayi: Surpeuplée la prison centrale héberge 850 personnes
jeudi 16 mai 2013
Nord Kivu : 5 groupes armés créés en une année à Kitshanga
Nyatura Ngwiti
Nyatura Kipema
Les M26
Les forces des patriotes congolais (FPC).
Les affrontements survenus entre ces groupes ont entrainé des pillages, plusieurs violations des droits humains, ainsi que le déplacement massif des populations vers des camps.
L’armée régulière déployée sur l’axe principal Sake-Kitshanga ne sécurise que les villages situés sur ce parcours.
«Jamais un groupe armé ne se forme en un seul jour. La plupart de ces groupes naissent sous nos yeux avec quatre ou cinq hommes et quelques armes. Et au fil des semaines, ils grandissent en nombre, se procurent des armes et deviennent incontrôlables», indique un notable. Selon lui, ces groupes bénéficient de l’appui de certains hommes politiques.
La population se demande pourquoi le gouvernement attend que ces groupes s’implantent durablement avant de commencer à chercher des stratégies pour les combattre.
Les agents de la chefferie des Bashali expliquent que les autorités provinciales sont souvent informées de la naissance de ces groupes. « C’est lorsque ces hommes armés commencent à tuer la population et à piller ses biens que l’autorité se sent concernée », se plaignent-ils.
Les notables de Kitshanga demandent au gouvernement de prendre les dispositions pour mettre fin à cette situation.
Lubumbashi: la RVA appelle les compagnies étrangères à reprendre les trafics à l’aéroport de Luano
RDC : Ocha se désengage à l’Equateur
Lubumbashi: 3 militaires comparaissent pour détournement des munitions
Nord-Kivu : polémique au sujet des auteurs de l’attaque contre la ville de Beni
Le commandant intérimaire du premier secteur des FARDC à Beni, colonel Richard Bisamaza, accuse le Mouvement pour la restauration de la démocratie au Congo (MRDC) d’avoir attaqué ce mercredi 15 mai dans la matinée la ville de Beni. Le chef de cette milice, le général autoproclamé Hilaire Kombi, rejette cette accusation, attribuant l’offensive à un autre groupe armé. Cette attaque a fait 36 morts dont 4 militaires congolais et 32 miliciens, selon le colonel Richard Bisamaza. D’autres sources parlent plutôt de 17 militaires tués. (Lire la suite…)
RDC: les députés interpellent le ministre de l’Intérieur sur l’insécurité au Nord-Kivu
Equateur : une association veut des débats contradictoires entre candidats gouverneurs
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RDC : Louis Koyagialo assigné en justice dans l’affaire du « massacre de Lubumbashi »
Kinshasa : le gouvernement veut instituer le contrôle technique obligatoire des véhicules
mercredi 8 mai 2013
Le Burundi très impliqué dans la recherche des solutions au conflit en RDC
BUJUMBURA
-- Le Burundi est très impliqué dans la recherche des solutions
durables au conflit armé dans l'Est de la République Démocratique du
Congo (RDC), notamment dans la province du Nord-Kivu, a déclaré le
ministre burundais des Relations Extérieures et de la Coopération
Internationale, Laurent Kavakure, mardi à Bujumbura.
Au cours d'une conférence de presse, M. Kavakure a affirmé que le gouvernement burundais est favorable à la mise à la disposition de toutes les infrastructures disponibles, dont celles de l' aéroport International de Bujumbura à l'ONU pour le déploiement de la brigade spéciale d'intervention de l'ONU, au cas où celle-ci lui sollicite pour un tel besoin.
"Ce conflit qui sévit en RDC est à nos portes. Et si jamais il s'étendait, il pourrait avoir des conséquences néfastes pour notre pays, pour notre développement. C'est d'abord donc pour l'intérêt de la paix et pour la cause de la paix. Et je pense que comme dividendes, c'est extrêmement important et nous ne faisons pas d' autres spéculations", a insisté le chef de la diplomatie burundaise.
Le Burundi s'est mis à la disposition de la Conférence Internationale pour la Région des Grands Lacs (CIRGL) pour beaucoup d'aspects depuis longtemps, a rappelé M. Kavakure, ajoutant que son pays abrite le siège du secrétariat exécutif de la CIRGL ainsi que celui de l'envoyé spécial de l'Union Africaine (UA) pour la région des Grands Lacs.
Par ailleurs, a-t-il affirmé, la récente nomination de l' envoyée spéciale du secrétaire général des Nations Unies, Mme Mary Robinson, constitue une avancée importante pour accélérer le processus de mise en place de la brigade spéciale d' intervention de la Mission des Nations Unies en RDC.
Fin mars, le Conseil de sécurité des Nations Unies a approuvé la création de cette force de combat chargée de mener des opérations offensives ciblées contre les groupes d'insurgés dans l'est de la RDC.
Au cours d'une conférence de presse, M. Kavakure a affirmé que le gouvernement burundais est favorable à la mise à la disposition de toutes les infrastructures disponibles, dont celles de l' aéroport International de Bujumbura à l'ONU pour le déploiement de la brigade spéciale d'intervention de l'ONU, au cas où celle-ci lui sollicite pour un tel besoin.
"Ce conflit qui sévit en RDC est à nos portes. Et si jamais il s'étendait, il pourrait avoir des conséquences néfastes pour notre pays, pour notre développement. C'est d'abord donc pour l'intérêt de la paix et pour la cause de la paix. Et je pense que comme dividendes, c'est extrêmement important et nous ne faisons pas d' autres spéculations", a insisté le chef de la diplomatie burundaise.
Le Burundi s'est mis à la disposition de la Conférence Internationale pour la Région des Grands Lacs (CIRGL) pour beaucoup d'aspects depuis longtemps, a rappelé M. Kavakure, ajoutant que son pays abrite le siège du secrétariat exécutif de la CIRGL ainsi que celui de l'envoyé spécial de l'Union Africaine (UA) pour la région des Grands Lacs.
Par ailleurs, a-t-il affirmé, la récente nomination de l' envoyée spéciale du secrétaire général des Nations Unies, Mme Mary Robinson, constitue une avancée importante pour accélérer le processus de mise en place de la brigade spéciale d' intervention de la Mission des Nations Unies en RDC.
Fin mars, le Conseil de sécurité des Nations Unies a approuvé la création de cette force de combat chargée de mener des opérations offensives ciblées contre les groupes d'insurgés dans l'est de la RDC.
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Mary Robinson rend compte de sa tournée dans les Grands Lacs au conseil de sécurité
Province Orientale: 22 villages accèdent à l’eau potable à Isangi et Bafwasende
CENI : 7 jours pour proposer des candidats !
Foot-RDC: Moïse Katumbi suspend le comité sportif de Mazembe
Pamphile Mihayo, David Mwakasu, Florian Mulot et Mandiaty Fall ont été désignés pour diriger l’équipe « en attendant un nouvel entraîneur ».
Eliminé de la Ligue des champions par Orlando Pirates, Mazembe doit se préparer pour le tour de cadrage de la Coupe de la Confédération. Pour accéder aux quarts de finale de cette compétition, le club de Lubumbashi doit de se défaire de Liga Muculmana de Maputo qu’il va recevoir le dimanche 19 mai prochain. Aux huitièmes de finale de la Coupe de la Confédération, le club mozambicain avait barré la route aux Marocains de Widdad de Casablanca.
Foot-RDC: Moïse Katumbi suspend le comité sportif de Mazembe
publié il y a 16 heures, 36 minutes, | Denière mise à jour le 8 mai, 2013 à 8:08 | sous Katanga, Sport.
Mots clés: Football, Moise Katumbi, TP Mazembe
Pamphile Mihayo, David Mwakasu, Florian Mulot et Mandiaty Fall ont été désignés pour diriger l’équipe « en attendant un nouvel entraîneur ».
Eliminé de la Ligue des champions par Orlando Pirates, Mazembe doit se préparer pour le tour de cadrage de la Coupe de la Confédération. Pour accéder aux quarts de finale de cette compétition, le club de Lubumbashi doit de se défaire de Liga Muculmana de Maputo qu’il va recevoir le dimanche 19 mai prochain. Aux huitièmes de finale de la Coupe de la Confédération, le club mozambicain avait barré la route aux Marocains de Widdad de Casablanca.
RDC: les députés interrogent Raymond Tshibanda sur les pourparlers de Kampala
Mais les députés sont partagés sur l’utilité de ces pourparlers qui avaient été interrompus suite aux dissensions observées en mars dernier au sein du M23. Les délégués du gouvernement et du M23 ont pourtant regagné Kampala début avril pour finaliser un accord. Mais le dialogue n’a toujours pas repris.
Pour François Nzekuye de la majorité, les pourparlers de Kampala ont permis d’enlever aux rebelles tout prétexte de recours aux armes.
« On est arrivé à leur démontrer clairement qu’ils n’ont pas de raison de prendre des armes. Si le M23 avait des revendications qui étaient considérées comme valables par tout le monde, on ne le considérerait pas comme mouvement terroriste, ni comme une force négative », a-t-il expliqué.
De son côté, le député de l’opposition, Clément Kanku, a estimé que ces négociations sont « une perte de temps », affirmant qu’elles ont « légitimé le M23 ».
« Nous n’avons jamais compris que c’est le même gouvernement qui refusait de négocier avec la fiction [mais] qui voulait parler avec les vrais commanditaires aujourd’hui se rabatte sur la fameuse fiction pour aller négocier », a-t-il indiqué, faisant allusion au porte-parole du gouvernement qui qualifiait le M23 de « fiction ».
Le M23 revendique la pleine application de l’accord du 23 mars signé entre le gouvernement et l’ex-rébellion du CNDP d’où viennent les chefs militaires du M23. La RDC, l’Onu et les ONG accusent le Rwanda de soutenir cette rébellion. Ce que nie ce pays.
Le ministre des Affaires étrangères congolais doit revenir à l’Assemblée nationale ce mercredi 8 mai pour répondre aux questions des députés.
RDC: le gouvernement a économisé 5 millions USD grâce à la bancarisation de la paie des fonctionnaires
Citant notamment le directeur de l’administration publique, Matata Ponyo a annoncé que les personnes qui étaient impliquées dans le détournement de cet argent ont été mises à la disposition de la justice.
Le Premier ministre s’est également félicité des retombées de l’entrée en application en janvier 2012 de la Taxe sur la valeur ajoutée (TVA) qui, à l’en croire, a permis un accroissement de plus de 30 % du budget national.
« La mise en place de la TVA a permis d’accroître significativement les recettes de l’Etat. Vous n’avez qu’à vous rendre compte en parcourant le budget tel qu’exécuté fin 2012, les recettes publiques se sont accrues de plus de 30% au terme de l’exercice 2012 et ceci en terme réel », a-t-il indiqué.
Par ailleurs, le chef du gouvernement a affirmé que mille trois cents emplois ont été créés depuis son entrée en fonction, il y a une année.
RDC: les composantes de la nouvelle commission électorale ont 7 jours pour désigner leurs délégués
p
« Nous sommes organisés. Les confessions religieuses vont se mettre pour préparer la réponse à ce que le président de l’Assemblée nationale vient de nous dire », a affirmé Cheik Abdalah Mangala, représentant de la communauté islamique.
Les représentants de l’opposition ont également souhaité qu’il y ait des concertations avant la désignation des leurs délégués.
« Il y aura des rencontres internes au sein de l’opposition pour savoir qui est la personne indiquée avec le profil indiqué pour occuper telle ou telle responsabilité », a déclaré Justin Bitakwira, président du groupe parlementaire UNC.
Pour sa part, le député de la majorité Christophe Lutundula a affirmé qu’au sein de sa composante, « il n’y a pas de note de discordance ».
« La majorité est la composante la plus structurée », a-t-il soutenu, assurant qu’à la limite, « dans 48 heures, nous pouvons être en mesure de présenter » nos délégués.
Les membres de l’actuelle commission électorale avaient attendu dix mois après la promulgation de la loi qui la créait pour être investis. Les composantes n’arrivaient pas à se mettre d’accord sur les personnalités à proposer.
La nouvelle commission électorale qui doit être investie le 11 juin prochain à l’Assemblée nationale, sera composée de treize membres dont six de la majorité, quatre de l’opposition et trois de la société civile.
Le bureau de cette institution sera composé de six membres et son président sera issu de la société civile. Le vice-président, le rapporteur-adjoint et le questeur proviendront de la majorité alors que le rapporteur et le questeur- adjoint seront issus de l’opposition politique.
RDC : un casque bleu pakistanais tué au Sud-Kivu
Il a “demandé au gouvernement de la RDC de traduire les auteurs de ce crime en justice”, a ajouté M. Nesirky.
RDC : le Premier ministre reconnaît un problème avec le partenariat chinois publié il y a 51 minutes, | Denière mise à jour le 8 mai, 2013 à 11:49 | sous Actualité, National. Mots clés: Chine, Matata, Partenariat, ponyo, RDC Le Premier ministre Augustin Matata Ponyo a reconnu mardi 7 mai, sur les antennes de radio Okapi, qu’il y a un problème à examiner en profondeur avec le partenariat chinois. Depuis avril dernier, des rumeurs affirment que la banque chinoise, China Exim Bank, qui finance les travaux de construction des entreprises chinoises en RDC, se serait rétractée. Sans confirmer l’information, le Premier ministre à évoqué une «question qui nécessite un examen en profondeur». «Comme vous le savez, il y a beaucoup d’entreprises qui sont sur place et qui travaillent avec nous. Il y en a qui travaillent avec des financements de ce partenariat avec la Chine et celles qui travaillent avec le financement du gouvernement. Disons que c’est une question d’actualité, nous continuions à y travailler. Peut-être dans les jours à venir nous vous donnerons une réponse beaucoup plus appropriée», a expliqué le Premier ministre. Selon des informations parvenues à radio Okapi, la China Exim Bank se serait rétractée à cause du risque que comportent désormais les contrats chinois, après que l’Etat congolais ait retiré la garantie opérée en 2008 suite à des recommandations des institutions de Bretton Woods. En 2008, la RDC s’étaient engagée à offrir ses mines à la Chine contre un projet ambitieux de construction d’infrastructures. L’Etat aurait changé d’avis sous la pression de la Banque mondiale et du FMI. Selon une source proche du bureau de coordination et de suivi du programme sino-congolais, pour garantir les prêts chinois, la banque chinoise exige désormais que le gouvernement congolais lui cède ses parts dans la Sicomines, une joint-venture dans laquelle l’Etat congolais, via la Gécamines, détient 32% de parts contre 68% du consortium chinois. Elle possède deux gisements riches en cuivre et cobalt de Dikulwe et Mashamba au Katanga. Le refus du gouvernement congolais de céder ses parts serait à la base du ralentissement du décaissement des fonds par la banque chinoise. Sur les trois milliards de dollars américains destinés aux projets d’infrastructures, seulement 468 millions seraient décaissés, notamment pour la construction de l’hôpital du cinquantenaire (100 millions), la construction du boulevard du 30 juin (54 millions), l’avenue du tourisme (44 millions), le tronçon de route entre Lubumbashi et Kasomeno (135 millions) et la bretelle Beni-Luna (64 millions).
RDC : le Premier ministre reconnaît un problème avec le partenariat chinois
Selon des informations parvenues à radio Okapi, la China Exim Bank se serait rétractée à cause du risque que comportent désormais les contrats chinois, après que l’Etat congolais ait retiré la garantie opérée en 2008 suite à des recommandations des institutions de Bretton Woods.
En 2008, la RDC s’étaient engagée à offrir ses mines à la Chine contre un projet ambitieux de construction d’infrastructures. L’Etat aurait changé d’avis sous la pression de la Banque mondiale et du FMI.
Selon une source proche du bureau de coordination et de suivi du programme sino-congolais, pour garantir les prêts chinois, la banque chinoise exige désormais que le gouvernement congolais lui cède ses parts dans la Sicomines, une joint-venture dans laquelle l’Etat congolais, via la Gécamines, détient 32% de parts contre 68% du consortium chinois. Elle possède deux gisements riches en cuivre et cobalt de Dikulwe et Mashamba au Katanga.
Le refus du gouvernement congolais de céder ses parts serait à la base du ralentissement du décaissement des fonds par la banque chinoise.
Sur les trois milliards de dollars américains destinés aux projets d’infrastructures, seulement 468 millions seraient décaissés, notamment pour la construction de l’hôpital du cinquantenaire (100 millions), la construction du boulevard du 30 juin (54 millions), l’avenue du tourisme (44 millions), le tronçon de route entre Lubumbashi et Kasomeno (135 millions) et la bretelle Beni-Luna (64 millions).
Selon des informations parvenues à radio Okapi, la China Exim Bank se serait rétractée à cause du risque que comportent désormais les contrats chinois, après que l’Etat congolais ait retiré la garantie opérée en 2008 suite à des recommandations des institutions de Bretton Woods.
En 2008, la RDC s’étaient engagée à offrir ses mines à la Chine contre un projet ambitieux de construction d’infrastructures. L’Etat aurait changé d’avis sous la pression de la Banque mondiale et du FMI.
Selon une source proche du bureau de coordination et de suivi du programme sino-congolais, pour garantir les prêts chinois, la banque chinoise exige désormais que le gouvernement congolais lui cède ses parts dans la Sicomines, une joint-venture dans laquelle l’Etat congolais, via la Gécamines, détient 32% de parts contre 68% du consortium chinois. Elle possède deux gisements riches en cuivre et cobalt de Dikulwe et Mashamba au Katanga.
Le refus du gouvernement congolais de céder ses parts serait à la base du ralentissement du décaissement des fonds par la banque chinoise.
Sur les trois milliards de dollars américains destinés aux projets d’infrastructures, seulement 468 millions seraient décaissés, notamment pour la construction de l’hôpital du cinquantenaire (100 millions), la construction du boulevard du 30 juin (54 millions), l’avenue du tourisme (44 millions), le tronçon de route entre Lubumbashi et Kasomeno (135 millions) et la bretelle Beni-Luna (64 millions).
RDC: au moins 27 groupes armés sont actifs au Nord-Kivu
Le ministre a indiqué que l’activisme de ces groupes armés empêche même les autorités du Nord-Kivu d’avoir le contrôle sur plusieurs secteurs du territoire provincial.
Il a tout de même qualifié la situation sécuritaire générale de relativement calme au Nord-Kivu.
Ce que contestent de nombreux députés provinciaux qui font une analyse contraire de la situation sécuritaire de la province.
Le député Mutuhule Moro Moro, auteur de la question orale, n’est pas satisfait des réponses apportées par le ministre.
«Nous nous ne sommes pas satisfaits parce qu’il y a une insécurité généralisée dans la province du Nord-Kivu. On dénonce des cas d’insécurité même dans la partie contrôlée par le gouvernement. Il n’y a pas lieu de dire qu’il y a accalmie relative», a-t-il déclaré.
Une dizaine de députés provinciaux ont posé d’autres questions sur la problématique sécuritaire et sur la défaillance du réseau routier au Nord-Kivu.
La semaine prochaine, le ministre Valérien Mbalutwirandi sera de nouveau devant l’Assemblée provinciale pour continuer de répondre aux questions des députés.
jeudi 2 mai 2013
Sud-Kivu: 600 déplacés de guerre en difficulté à Minova
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